Ibis

Ibis

lundi, 15 juillet 2019 09:46

La conciliation

Parmi les nouvelles prérogatives énoncées par la loi du 18 juin 2018, l’avocat et l’huissier de justice sont tenus d’informer le justiciable de la possibilité d’une conciliation.

Lire l'article

En cas de séparation parentale, le choix de solliciter l’intervention d’un médiateur familial s’inscrit dans une démarche volontaire et commune de trouver des solutions, souvent urgentes, en ce qui concerne le logement, l’hébergement des enfants, la contribution alimentaire, la communication entre les parents, … L’émergence de solutions conformes aux besoins de chacun sera possible, même dans des situations fort conflictuelles, parce que la médiation s’inscrit dans un processus structuré, avec différentes «phases» orchestrées par un médiateur agréé, indépendant et impartial, formé à la communication et à la gestion des conflits.

Lire l'article

mardi, 21 mai 2019 11:27

Négocier autrement

 
 
 
Le Droit Collaboratif
" Négocier autrement des solutions justes pour chacun "

 Voir la video

mardi, 21 mai 2019 11:25

Droit familial

Depuis le 10 janvier 2019, tous les accords relatifs à la prise en charge financières des enfants (contributions alimentaires, partage des allocations familiales, …) devront mentionner les éléments qui ont été pris en considération pour aboutir à l’accord. Ceci s’applique également aux accords de médiation, aux ententes de droit collaboratif et aux accords dégagés dans le cadre d’une procédure de conciliation devant la chambre de règlement amiable (tribunal de la famille).

 

La loi du 21 décembre 2018 a modifié l’article 1321 du Code judiciaire qui prévoit désormais l’obligation de mentionner, depuis le 10 janvier 2019, dans tous les accords relatifs à la prise en charge financière (entretien et éducation) des enfants, les critères sur base desquels l’accord est intervenu.

Jusqu’alors, l’obligation de mentionner les éléments qui avaient été retenus pour trancher les aspects de l’entretien et de l’éducation des enfants, n’incombaient qu’aux juges, en vertu de l’ancienne version de l’article 1321 du code judiciaire.

Le juge devait effectivement mentionner les éléments qu’il avait analysés et la manière dont il en avait tenu compte pour déterminer le montant de la contribution alimentaire, le partage des allocations familiales, la prise en charge des frais extraordinaires, …

A présent, tous les accords devront reprendre ces éléments.

De quels accords s’agit- il ? Tous les accords sont visés : les accords déposés dans le cadre d’une procédure (conclusions d’accord), les accords sous seing privé, les accords de médiation, les ententes de droit collaboratif mais également les accords dégagés dans le cadre de la procédure de conciliation devant la chambre de règlement amiable (tribunal de la famille).

Quels sont les éléments à mentionner ?

-  La nature et le montant des capacités contributives des parents ;
-  Le budget de l’enfant (frais ordinaires + évaluation) ;
-  La nature des frais extraordinaires à partager et la manière dont ils seront partagés entre les parents (+ toutes les modalités pratiques relatives aux décomptes de frais).
-  Les modalités d’hébergement de l’enfant (contribution en nature) ;
-  Le montant des allocations familiales+ avantages sociaux et fiscaux (ex : déductibilité fiscale des contributions alimentaires, charge des enfants IPP, impact sur le précompte immobilier, …).
-  Les éventuels revenus produits par les biens de l’enfant ;
-  Les éventuelles circonstances particulières de la situation.


Quelle est l’utilité de cette réforme
 ? La transparence et la sécurité juridique. En effet, il arrive régulièrement, compte tenu du caractère évolutif des situations familiales, qu’un accord soit remis en cause ou qu’une demande de modification d’un accord intervienne plusieurs années après la signature de celui-ci (majoration/diminution/suppression de contribution alimentaire).


Si l’accord ne renseigne aucun élément quant à la situation financière des parents au moment où il a été rédigé, le juge ou les praticiens du droit (médiateur, avocat collaboratif, …) qui devront revoir la situation ne disposeront pas d’informations sur la situation initiale, qui leur permette de déterminer dans quelle mesure des éléments comme la capacité financière des parents ont évolué (ni même d’ailleurs si ils ont évolué), sauf à se lancer dans des recherches historiques.

A présent tous les accords devront mentionner les critères visés ci-dessus, ce qui permettra de disposer de points de comparaison pour analyser une demande de modification de l’accord.

Cette modification devrait par ailleurs permettre une plus grande transparence entre parents.

 

Emilie Cappon

mardi, 21 mai 2019 11:07

La médiation

La médiation comme solution dans la gestion du conflit

Lire l'article

lundi, 19 novembre 2018 15:08

Lorem ipsum dolor sit amet

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer adipiscing erat eget risus sollicitudin pellentesque et non erat. Maecenas nibh dolor, malesuada et bibendum a, sagittis accumsan ipsum. Pellentesque ultrices ultrices sapien, nec tincidunt nunc posuere ut. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Nam scelerisque tristique dolor vitae tincidunt. Aenean quis massa uada mi elementum elementum. Nec sapien convallis vulputate rhoncus vel dui.

Après-midi d'études - 18 juin 2018 de 13h45 à 18h30

Chers Confrères,
Très prochainement, la nouvelle la loi sur la Médiation invitera les avocats à régler les litiges en privilégiant la médiation avant d’introduire une procédure judiciaire.
Donnez-vous l’occasion de connaître votre rôle dans ce mode de règlement des conflits.

Présentation et programme 2018

dimanche, 05 mars 2017 15:06

Nous recrutons !

Alterys cherche un(e) étudiant(e) pour assurer l’accueil, la réception, le téléphone, la préparation des salles de réunion, du support administratif,… de son cabinet d’avocats-médiateurs à 1170 Watermael-Boitsfort, Chaussée de La Hulpe 177/19 (arrêt de Tram Coccinelles) de préférences tous les jours de 15h30 à 18h00.

Pour tous renseignements, contactez par email Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou au 02/541.18.54.

Article paru dans le Magazine du Conseil économique et social de la Région de Bruxelles-Capitale.
Page 1 sur 4